Les élus et le syndicat mixte pour le SCOTERS travaillent depuis 2012 sur le sujet de l’énergie, dans le cadre d’une démarche itérative centrée dans un premier temps sur l’acculturation et la prise de conscience :
- 2012 : engagement d’une démarche privilégiant la mise en œuvre, par l’accompagnement des communes et des EPCI, suite à la première évaluation du SCoT
- 2015 : territoire pilote dans le cadre d’une plateforme d’appui à la transition énergétique du territoire (PTET), animée par l’ADEUS
- 2015 : Colauréat avec l’EMS du programme T.E.P.C.V. (Territoires à énergie positive pour la croissance verte)
- Dès 2018 : lancement de la révision du SCoT avec les enjeux énergie-climat-santé comme fil conducteur
- 2019 : organisation de plusieurs temps d’échanges : deux séminaires « transitions » au printemps, résultats d’une étude sur le potentiel des friches et parkings sur le territoire de SCoT pour la production d’EnR, débat politique, élargissement au sujet climat-santé
- Dès 2020 : lancement des travaux en partenariat avec l’ADEME dans le cadre de l’appel à manifestation d’intérêt « la planification urbaine au service des stratégies bas carbone et trajectoires 2°C », pour lequel le syndicat mixte a été retenu en décembre 2019 en collaboration étroite avec les EPCI membres, le PCAET de l’EMS et l’ADEUS
L’énergie, une affaire pas uniquement réservée aux énergéticiens ?
Le document d’urbanisme et de planification est un outil clé à ne pas sous-estimer pour passer à une organisation territoriale moins consommatrice en énergie. Il peut favoriser des modes de vie plus sobres sur un territoire donné et peut participer à l’évolution des pratiques.
Outre l’ambition de sobriété énergétique dans un document d’urbanisme, celui-ci peut également définir des objectifs renforcés de performances énergétiques et de production d’EnR dans les secteurs d’ouverture à l’urbanisation.